Commercialisation de jouets imitant les modèles de Ferrari

PI & TIC
Outils
TAILLE DU TEXTE

La commercialisation de jouets imitant la marque Ferrari n'est pas constitutive d'un acte de concurrence déloyale envers la société du même nom dans la mesure où ces jouets s'adressent à une clientèle distincte de celle visée par les produits de la marque.

A la suite de la commercialisation de jouets imitant la marque Ferrari, la société du même nom a assigné leur fabricant en concurrence déloyale. Déboutée de ses demandes par les juges du fond, la société a formé un pourvoi en cassation. Par un arrêt du 3 mars 2015, la Cour de cassation a rejeté le pourvoi.La Haute juridiction judiciaire a, en effet, relevé que si les jouets litigieux avaient l'apparence d'une voiture Ferrari, ils étaient destinés à une autre clientèle que celle visée par les produits de la marque, dans la mesure où ils (...)

L'article complet est réservé aux abonnés

Vous êtes abonné(e) à Veegee ? Identifiez-vous
Je m'identifie
Pour découvrir nos formules d'abonnement,
Je m'abonne