"Google Suggest": délit de diffamation non retenu

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La Cour de cassation considère que sont caractérisées la prudence et la mesure dans l’expression des requêtes semi automatiques affichées.

En l'espèce, dans un arrêt rendu par la Cour de cassation, le 19 février 2013, un individu a constaté que lors de la saisie de ses nom et prénom sur le service "Google suggest", les propositions étaient associées aux termes : viol, condamné, sataniste, prison, violeur. La personne concernée a assigné la société Google Inc., le directeur de la publication du site internet www.google.fr et la société Google France du chef de diffamation. La cour d'appel de Paris, par un arrêt en date du 14 décembre 2011, l'a déboutée de toutes ses demandes. Le demandeur se pourvoit alors en cassation. La Haute juridiction judiciaire rejette ce pourvoi au motif que les critères (...)

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